Deuxième matin de l'Obélix et pas un souffle de vent. Aucun départ n'a pu être donné pour le moment sur le plan d'eau désespérément sans rides.
Siffle, gabier, siffle doucement
Pour appeler le vent ;
Mais sitôt la brise venue,
gabier, ne siffle plus !
samedi 1 mai 2010
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